Dans cette configuration, le stade bat ses records d'affluence, pour le porter à 28 148 spectateurs, le 11 novembre 1965 à l'occasion d'une rencontre qui oppose le Stade rennais FC, vainqueur sortant de la Coupe de France au FC Nantes, champion de France en titre[253]. Quelques années plus tôt, c'est également à son initiative que le club emménage au Parc des sports de la route de Lorient[14]. ), École technique privée Odorico : 7 salles de cours, 3 salles de détente, 2 restaurants, 25 chambres, Complexe sportif de l'Écluse du Comte : 2 terrains en herbe, 1 terrain stabilisé. Le 5 octobre 2020 est conclut l'arrivée la plus onéreuse de l'histoire du Stade rennais FC. Depuis les années 1970, les différents blasons qui se succèdent reprennent plusieurs mêmes éléments, avec deux hermines blanches enserrant un ballon de football, sur un fond rouge et noir. »[300]. En octobre 1929, Adolphe Touffait est chargé de se rendre à Prague pour y recruter plusieurs joueurs afin de renforcer l'équipe[23]. Le Stade rennais FC compte également plusieurs joueurs ayant mené des études en odontologie comme André Le Menn ou Jacques Poulain, en éducation physique et sportive comme Henri Guérin, Jean Prouff ou Loïc Kerbiriou, en chimie comme Raymond Keruzoré, en médecine comme Yves Le Floch, en comptabilité comme René Cédolin, en pharmacie comme Philippe Redon, ou en droit comme Henri Combot et Jean-Michel Bellat, futur président de la Ligue de Bretagne de football[108],[109]. Le joueur qui totalise le plus de sélections en évoluant au Stade rennais FC est le milieu de terrain Yann M'Vila, avec vingt-deux sélections[178]. Huit ans plus tard, Rod Fanni[182] puis Jimmy Briand[183] portent à leur tour le maillot de l'équipe de France en match officiel. )[46],[note 3]. Vice-champion : 1921, 1926, 1927 et 1928. Il ne prend pas en compte les compétitions saisonnières et amicales disputées par le club notamment en période estivale, ni les titres remportés par les équipes réserves du club dans les championnats amateurs. Ces bons résultats demeurent sans lendemain. Louis Girard est le président qui reste le plus longtemps en poste, sur une période de quinze ans entre 1954 et 1969. Sous sa conduite, le SRUC obtient son meilleur classement depuis 1932, avec une quatrième place acquise en 1949[32]. En 1986, une rénovation est mise en œuvre, visant à reconstruire l'ensemble des tribunes du stade pour lui donner une capacité d'accueil de 33 000 places. Suivent dans ce classement Jean Prouff, avec treize matchs sur un total de dix-sept capes, qui est le capitaine de l'équipe de France lors de trois de ses quatre dernières sélections, honorées alors qu'il évolue au Stade de Reims[179], et l'attaquant Jean Grumellon, dont les dix sélections sont toutes obtenues pendant sa carrière rennaise[180]. Pour le déplacement sur la pelouse du Stade de Reims, ce dimanche après-midi (15 heures, Stade Auguste-Delaune), dans le cadre de la 31ème... Ligue 1 Le 03/04/2021 19:35. En mai 2014, néanmoins, l'influence d'Artémis est atténuée par l'entrée au capital du club de René Ruello, qui redevient président du Stade rennais FC[161],[162]. Sous la conduite de László Bölöni, puis sous celle de Pierre Dréossi, le Stade rennais FC se stabilise dans le haut du classement de Ligue 1 et devient un prétendant régulier aux places européennes. Retrouvez l'actualité foot et mercato sur livefoot.fr. Le 10 mars 1901, plusieurs anciens étudiants fondent un club omnisports qui prend le nom de Stade rennais. Lors de sa première saison comme président du club, Louis Girard annonce en 1955 son intention de bâtir une équipe professionnelle composée essentiellement de joueurs bretons[231]. Seule la sélection la plus importante est indiquée. Placé en redressement par le tribunal de commerce de Rennes, le SRFC est dans l'obligation de licencier ses plus gros salaires[note 4], et s'astreint à une politique d'austérité. Le SRUC adopte les couleurs rouges et noires rayées verticalement du Football Club rennais[10], le Stade rennais évoluant jusque-là en bleu ciel et bleu marine[5]. Soit 33 entraîneurs successifs en l'espace de 78 ans, de 1932 à 2010. DEUXIÈME MEILLEUR CENTRE DE FORMATION FRANÇAIS EN 2019. Il est secondé par Philippe Bizeul et Dimitri Farbos (entraîneurs adjoints), Olivier Sorin (entraîneur des gardiens), ainsi que Grégory Gaillard (préparateur physique)[240]. La rivalité entre le FC Nantes et le Stade rennais FC ne s'est pas construite entre deux équipes luttant l'une contre l'autre pour l'obtention d'un titre, mais plutôt sur le déséquilibre existant entre une équipe ayant gagné de nombreux titres sur la scène nationale entre le milieu des années 1960 et le début des années 2000, et une équipe qui a longtemps dû se résoudre à vivre dans l'ombre de son voisin. Forum Discussions Messages Dernier message; 1. Elle devient populairement la tribune « Mordelles », du nom d'une commune située dans cette direction le long de la route de Lorient[254]. Outre de nombreux joueurs européens et africains, on retrouve dans l'effectif de la saison 2009-2010 le défenseur. À l’époque, 3 jeunes supporters se séparèrent du kop en tribune Rennes pour monter un groupe jeune, autonome, et inconditionnel, le groupe rassemblant diverses mentalités (ultras, supporters...) dont la mission principale est de soutenir le Stade rennais FC de manière inconditionnelle et le plus possible partout dans les stades où celui-ci évolue. Patrick Dessault, « Rennes parie enfin sur l'avenir ». Cette interdiction levée en 1966, comme beaucoup de clubs français, le Stade rennais FC recrute de nombreux joueurs yougoslaves[229] comme Silvester Takač ou Velimir Naumović, mais aussi africains, comme Laurent Pokou. Ses dirigeants remarquent alors la couverture d'un exemplaire du magazine Paris Match, qui présente les joueurs rennais vainqueurs de la Coupe de France en 1965. Le président actuel du Stade rennais FC, Nicolas Holveck, est le trente-septième président successif du club depuis la nomination du premier président, M. Duchesne, en mars 1901[144]. Il devance François Pleyer, entraîneur du club entre 1945 et 1952, et qui totalise 266 matchs sur le banc de touche Rennais[133]. Au fil des années, le terrain subit plusieurs aménagements pour améliorer le confort de jeu et celui des spectateurs, mais onze ans après sa création, le club déménage pour un terrain situé un peu plus loin à l'ouest, sur l'autre rive de la Vilaine, le long de la voie qui part du centre-ville vers Lorient. « Stade rennais » redirige ici. Dans l'impasse, le Stade rennais FC ne convainc pas et se bat plusieurs saisons de rang contre la relégation. Indemnité de deux fois 15 M€, la deuxième partie de l'indemnité n'a pas été réglée conformément en raison de la vente immédiate du joueur au. Au cours de cette période, dès 1932, le club accède également au statut professionnel. Stade Rennais Football Club is een Franse voetbalclub uit Rennes, opgericht in 1901 en uitkomend in de Ligue 1.De club speelt zijn thuiswedstrijden in het Parc des Sports.Rennes speelt sinds de oprichting van de moderne Franse sportcompetitie steevast in een van de twee hoogste klassen, voornamelijk in … La plus large victoire obtenue par le Stade rennais FC en Division 1 est acquise à domicile face au Cercle athlétique de Paris le 15 octobre 1933 sur le score de 8-2. Au début du XXe siècle, le blason du Stade rennais FC présente ainsi une moucheture d'hermine, qui trouve son prolongement dans les années 1960 avec un blason reprenant partiellement les armes de la ville de Rennes. Cette tendance s'atténue fortement par la suite : parmi les treize derniers entraîneurs du club, seuls Christian Gourcuff[note 19] et Guy Lacombe ont le statut d'anciens joueurs du Stade rennais FC. Cette mutation permet au Stade rennais FC de récupérer une partie du montant ainsi qu'une indemnité de formation (près de 10 millions d'euros). Le budget alloué à la formation est alors quadruplé pour atteindre quatre millions d'euros annuels, soit environ 10 % du budget du club[284],[285]. En 1945, alors que la Division 1 reprend ses droits, le Stade rennais UC y prend place, mené par François Pleyer au poste d'entraîneur-joueur[31]. "Le Stade Rennais F.C. Le latéral droit Alain Cosnard, vainqueur en 1971, complète la défense. À compter de l'application de l'arrêt Bosman en 1996, cette présence étrangère explose, dans la foulée de ce qui se fait ailleurs en France[230]. Premier club breton vainqueur de la Coupe de France, le Stade rennais UC est reçu triomphalement par la population rennaise à son retour dans la ville le 31 mai 1965[48],[49],[50]. Jean Rohou, sous la présidence duquel le club remporte la Coupe de France 1971, est ainsi entrepreneur, maire de Carhaix-Plouguer et conseiller général du Finistère[155], tandis que Frédéric de Saint-Sernin est un ancien député et conseiller de Jacques Chirac[156]. Girard, qui souhaite faire du Stade rennais UC un club majeur sur la scène nationale[34], engage successivement Henri Guérin puis Antoine Cuissard au poste d'entraîneur, sans résultat malgré une demi-finale de Coupe de France atteinte en 1959[37],[38]. Jocelyn Gourvennec est lui plébiscité conjointement par France Football et par l'UNFP comme étant le meilleur joueur de l'année en Division 2 en 1994. Avant la Seconde Guerre mondiale, sous statut amateur, puis alors que le professionnalisme reste balbutiant, la plupart des jeunes sportifs continuent leurs études universitaires en parallèle, afin d'assurer leur avenir hors football. Jusqu'à 300 € offerts en pariant sur le prochain match du Stade rennais ! Privés de leurs deux buteurs Walter Kaiser et Walter Vollweiler blessés[26],[27], les Rennais doivent de nouveau s'incliner. La marque de fabrique du club est reconnue à travers l’Europe. Le Stade rennais Football Club est un club de football français, fondé en 1901 et basé à Rennes. Après 11 années passées au sein du recrutement à l’OL, Florian Maurice a choisi de rejoindre le Stade Rennais l’an passé, pour y occuper le rôle de directeur sportif. Nommé en remplacement de Julien Stéphan ce jeudi 4 mars 2021, Bruno Génésio est désormais le nouvel coach du Stade rennais. Il s'agit alors de la vente la plus onéreuse réalisée par le club, rapportant 40 millions d'euros environ. Le premier d'entre eux est le milieu de terrain François Hugues en 1922. Recruté à Vienne en 1933, Franz Pleyer est naturalisé français sous le nom de François Pleyer en décembre 1936[224], et fait l'ensemble de sa carrière au club aussi bien comme joueur que comme entraîneur, recruteur ou secrétaire[225]. Il démissionne en juillet 1969 alors que le Stade rennais FC est en proie à de gros problèmes financiers[147]. En 1918, Ernest Folliard est l'un des éléments moteur de la création de la Ligue de l'Ouest de football association (LOFA)[148], qui supplante rapidement le comité régional de l'USFSA. Après une courte pause due aux débuts de la Première Guerre mondiale, le club participe aux compétitions organisées par l'USFSA durant le conflit, et remporte en 1916 son premier titre national en battant le Club sportif des Terreaux en finale de la Coupe des Alliés[15],[16],[17]. En 1912, il emménage sur un terrain situé au bord de la Vilaine, sur lequel est érigé l'actuel Roazhon Park. Après ce nouveau succès, le club subit quelques changements. Ainsi, une mini-rivalité a pu opposer le Stade rennais FC au Stade brestois 29 au début des années 1990 pour la suprématie régionale. Plusieurs remplaçants sont également désignés : le milieu de terrain Raymond Keruzoré et le gardien de but Marcel Aubour, vainqueurs de la Coupe de France en 1971 ; l'attaquant Khennane Mahi, élu meilleur joueur du championnat de France par France Football en 1961[134] ; le défenseur François Pleyer, finaliste de la Coupe de France en 1935 ; l'attaquant yougoslave Silvester Takač, auteur de quarante-trois buts en deux ans et demi dans les années 1960[175] ; le défenseur Jean-Claude Lavaud, vainqueur de la Coupe de France en 1965 ; l'attaquant Shabani Nonda, fer de lance du club à la fin des années 1990 ; et enfin le milieu de terrain international Patrick Delamontagne, qui débute au club en 1974 et y prend sa retraite sportive dix-sept ans plus tard[176]. Ne connaissant que de légères modifications pendant plusieurs dizaines d'années, le stade est une première fois rénové juste avant le début de la Seconde Guerre mondiale[252]. Entre 1936 et 1937, le premier buteur de l'histoire de la Coupe du monde[212], Lucien Laurent, évolue lui aussi au Stade rennais UC[213]. Il faut alors attendre trente ans pour que Robert Rico, dernier joueur sélectionné en date, trouve un successeur en la personne de Bernard Lama, qui honore sa quarante-quatrième et dernière sélection alors qu'il vient de rejoindre le Stade rennais FC en septembre 2000[181]. Quelques années plus tard, sous l'impulsion d'Isidore Odorico, ce sont de nombreux joueurs issus de pays d'Europe de l'Est qui intègrent le club. Conséquence directe de cette politique, le centre de formation du Stade rennais FC obtient la première place du classement des centres de formation français en 2006[286], 2007[287],[288], 2008[289], 2009[290], 2010[291] et 2011[292],[note 29]. Jamais descendu en dessous de la septième place en championnat entre 2004 et 2009[79], le Stade rennais FC ne parvient pourtant pas à enrichir son palmarès, perdant deux finales de Coupe de France face à l'En Avant Guingamp en 2009 et 2014[80], puis une autre en Coupe de la Ligue face à l'AS Saint-Étienne en 2013[81]. En plus du terrain d'honneur, il comprend également plusieurs terrains annexes permettant la tenue d'entraînements et de matchs[251]. Parmi ceux-là, Adolphe Touffait opte pour des études de droit, qui le conduisent à devenir procureur de la République de la Seine, premier président de la cour d'appel de Paris, puis procureur général près la Cour de cassation, et enfin juge à la Cour de justice des communautés européennes[110],[111],[112],[113], après avoir joué en équipe de France de football en 1932[114]. Entre 1904 et 1914, les deux clubs se partagent les titres de champion de Bretagne, et leurs confrontations sont souvent féroces. Le budget prévisionnel d'un club s'établit en amont de l'exercice à venir et correspond à une estimation de l'ensemble des recettes et des dépenses prévues par l'entité. Benjamin Keltz, « La vraie feuille de match ». Depuis le début des années 2000, ces mouchetures d'hermines sont souvent présentes sur les différentes tuniques portées par les joueurs rennais[92],[99], alors que le maillot utilisé lors des matchs disputés à l'extérieur, traditionnellement blanc et noir, reprend en 2010 un motif évoquant le drapeau Gwenn ha du[100], puis en 2012 le drapeau Kroaz du[99]. Après avoir pris son indépendance vis-à-vis de la structure omnisports pour prendre son nom actuel en 1972, la section football connaît une longue traversée du désert sportive, ponctuée de graves difficultés financières. Jean Batmale est l'entraîneur ayant dirigé le Stade rennais FC pendant le plus grand nombre de saisons, huit au total, mais sur deux périodes distinctes. Au cours des six années que dure le conflit, le club navigue entre professionnalisme et amateurisme, participant de façon épisodique aux quelques compétitions organisées au niveau national. Les Brestois, qui se sont maintenus en Division 1 à plusieurs reprises, ont eu l'avantage sur le club rennais qui faisait "l'ascenseur" au début des années 1990. Ce record fait suite à la rénovation du stade entre 1999 et 2004. Paris 0 - 1 Terminé Lille. S'étalant sur une superficie de huit hectares[274], le centre est inauguré en juin 2000 par François Pinault[275]. Sa progression se concrétise cependant avec les sélections de plusieurs joueurs en équipe de France. Fondé par d'anciens étudiants, le Stade rennais garde durant de longues décennies un lien étroit avec l'université de Rennes, que l'on retrouve dans le nom utilisé par le club de 1904 à 1972. Durant la saison 2018-2019, à la suite d'une cinquième place obtenue par le biais du championnat lors de la saison 2017-2018, le club réalise le meilleur parcours européen de son histoire. Le chant est ainsi diffusé avant chaque rencontre à domicile depuis septembre 2009, le Stade rennais FC annonçant clairement vouloir mettre en avant son rôle de porte-drapeau régional[96],[97]. Par la suite, le recrutement de joueurs étrangers devient plus sage et se porte sur des jeunes en quête d'un tremplin vers des clubs plus prestigieux. Pascal Ferré, « Rennes, l'impossible phare ouest ». Produit culinaire spécifique au pays rennais, la galette-saucisse est également devenue un incontournable pour les supporters lors des matchs du Stade rennais FC[104]. Rennes s'est incliné ce mercredi soir face à Lyon sur un but de Houssem Aouar (1-0) en match de la 28e journée de Ligue 1. Actus, matchs, classements, vidéos, retrouvez toutes les infos de votre club favori en ligne ! Comme le Roazhon Park, le centre d'entraînement est la propriété de la ville de Rennes[265], qui le loue au club. Ces rivalités sont entretenues par la solide culture football qui s'est développée en Bretagne dès le début du XXe siècle et qui s'est matérialisée par la création de nombreux clubs partout dans la région. Nombre de matchs joués avec l'équipe première par des joueurs formés au club. Pour autant, le SRFC échappe de peu à la relégation en 1998, ne se sauvant que lors du dernier match de la saison, sur un but tardif de Kaba Diawara[68]. Le 26 octobre 2013, le Stade rennais FC gagne 5-0 sur le terrain du Toulouse FC. Ce pouvoir d'attraction estudiantin ne se limite cependant pas aux joueurs bretons. L'organigramme s'établit comme suit[301] : Directeur général adjoint : Olivier Cloarec, Directrice juridique & relations social : Élodie Crocq, Directeur administratif & financier : Benoît Muller, Directeur communication & marketing : Antoine Biard, Responsable des relations publiques et du développement : Romain Danzé, Entraîneurs adjoints : Philippe Bizeul et Dimitri Farbos, Responsable performance : Thomas Choinard, Kinésithérapeutes : Jocelyn Courtois, Éric Gontier, Yannick Logeais et Geoffrey Van Overschelde, Responsable du recrutement : Jérôme Bonnissel, Entraîneurs du centre de formation : Pierre-Emmanuel Bourdeau, Romain Ferrier et Jean-Fabien Peslier. Le premier est Joseph Verlet, qui évolue au club de 1911 à 1919[210], et qui fait partie de la première équipe de France de l'histoire le 1er mai 1904 à Bruxelles[211]. Maillots et accessoires aux couleurs des Rouge et Noir ! Entre 1998 et 2014, la prise de contrôle d'Artémis influence largement la nomination des présidents du club. En 1971, l'émergence d'une nouvelle génération de joueurs permet au Stade rennais UC de renouveler sa performance de 1965. D'autres joueurs, hongrois ou autrichiens suivent cet exemple. Elle voit le Paris Saint-Germain être sacré champion pour la quatrième année consécutive, et la sixième fois de son histoire. Deux ans plus tard, et malgré le renfort de l'attaquant ivoirien Laurent Pokou[58], le Stade rennais FC est relégué en deuxième division, après une saison 1974-1975 marquée par un conflit larvé entre le président Bernard Lemoux et plusieurs joueurs de l'effectif, dont Raymond Keruzoré[59]. Les Costarmoricains, qui étaient dans l'obligation de gagner, se voient relégués en Ligue 2, après six saisons consécutives en Ligue 1. En parallèle, la perspective de bâtir une équipe à forte coloration régionale revient de façon récurrente sans se concrétiser réellement. En 1973, alors que le club remporte la Coupe Gambardella, dix des treize joueurs utilisés lors de la finale mènent des études supérieures en parallèle, notamment le gardien Pierrick Hiard en comptabilité, et Christian Gourcuff, qui fera ensuite maths sup avant d'obtenir un CAPES de mathématiques[117],[118],[119]. Des bagadoù sont ainsi parfois présents dans l'enceinte du stade[90], tandis que des Gwenn ha du font leur apparition dans les tribunes, notamment à l'occasion des deux victoires du club en Coupe de France[89], mais aussi le 6 mai 1995, le groupe de supporters du Roazhon Celtic Kop en déployant un, grand de 270 m2, à l'occasion d'un match face au Paris Saint-Germain[91]. En 2001, il est désigné « entraîneur du siècle » par le SRFC[166]. Ceux-ci obtiennent une représentation parmi les dirigeants du club, le président de l'association des étudiants devenant ainsi vice-président du SRUC. Adaptation d'une chanson de supporters marseillais dédiée au pastis, elle a depuis été adoptée par le club[105],[106]. Soutenu financièrement par la municipalité[64], le club parvient à ses fins dès 1983 et semble enclencher une dynamique vertueuse en attirant les internationaux Pierrick Hiard et Yannick Stopyra[65]. Sous l'impulsion de son président Isidore Odorico[25], le Stade rennais UC accède au professionnalisme dès son autorisation en 1932, et s'engage dans le premier championnat de France. Les deux clubs se rencontrent régulièrement de nouveau en Ligue 1 de 1995 à 2004, Guingamp s'imposant sur cette période aussi souvent que Rennes, avec cinq victoires chacun[316]. Le tableau suivant liste le palmarès et les meilleures performances du Stade rennais FC, actualisé au 16 août 2020, dans les différentes compétitions officielles au niveau national, international, régional ainsi que dans les compétitions de jeunes. Il fait son retour dans l'Hexagone, après un exil en Chine. Dès les années 1920, le Stade rennais UC fait le choix de l'ouverture à des joueurs venus d'horizons divers. Toutefois, ces blasons n'apparaissent de façon pérenne et systématique sur les maillots des joueurs que depuis 1996[88]. Le début des années 1980 voit le Stade rennais FC remonter peu à peu la pente sous la direction de son entraîneur Pierre Garcia, et redevenir un prétendant à la montée en Division 1. Très vite, le Stade rennais FC s'affirme comme l'un des meilleurs clubs bretons, et rentre en concurrence avec l'US servannaise, qui bénéficie de la présence de nombreux joueurs anglais. Le Stade rennais FC est l'un des vingt clubs qui disputent le premier championnat de France professionnel de l'histoire en 1932-1933. Favoris face à une jeune équipe de Sedan[45], les Rennais peinent pourtant le jour de la finale, et se retrouvent rapidement menés deux buts à zéro. Les Rennais réalisent cependant deux bons parcours en Coupe de France où ils terminent demi-finalistes en s’inclinant 2-1 face à AS Saint-Étienne, mais surtout en championnat où les Bretons font leur meilleur classement en Ligue 1 de leur histoire en finissant sur le podium (3e) avec un championnat arrêté à la 28e journée en raison de la pandémie de Covid-19. Stade rennais UC et US servannaise se partagent les titres régionaux jusqu'en 1914. En tant qu'association, elle possède un président, Pierre Rochcongar[240], à sa propre personnalité juridique, vérifie et approuve ses comptes, procède à l'acquisition de mobilier et de matériel pédagogique, et peut modifier ses statuts[294]. En l'espace de quelques années, le club sombre totalement. Non loin du boulevard Voltaire, à l'Ouest du centre-ville. Le Stade rennais FC compte à son palmarès trois coupes de France, un challenge des champions, deux titres de champion de France de deuxième division et une coupe des Alliés. Parmi les entraîneurs du club, neuf sont de nationalité étrangère. De ce fait, il devient le Stade rennais Université Club et adopte les couleurs rouge et noir du FC rennais. Trois ans plus tard, le SRUC retrouve la finale de la Coupe de France. En parallèle, le club bénéficie d'une modernisation spectaculaire de ses infrastructures, avec la rénovation complète du Stade de la route de Lorient et la création du centre d'entraînement de la Piverdière[72].
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